Chronologiquement inexacte -la première ayant eu lieu la veille et disponible ici – cette soirée avait quelques arguments pour me déplaire : j’étais crevé et sans attrait pour l’écrivain annoncé. Mais rencontrer des gens est mon leitmotiv et une rencontre littéraire, organisée par Transfuge, ne se refuse pas. C’est donc le jeudi 3 septembre que je reprends le chemin de la librairie Delamain, Paris Ier. Cinq minutes après l’entrée en scène de l’auteur les dés sont jetés : Simon Liberati m’emmerde ferme. Le lieu, lui, ne manque pas d’intérêts…