Pour en finir avec lui

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A la compilation de mes différentes participations sur des forums d’écriture, je me rends compte que dans les premiers billets parus ici, beaucoup (trop) concernent Houellebecq. Point d’obsession, ou alors j’en suis depuis longtemps guéri (les articles datent tous de plus d’un an et demi).

Mais des interrogations toujours tenaces, dont le succès de cet écrivain est une illustration. 

Houellebecq & Darrieusecq : fan for ever

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Parce que je poursuis mes tentatives de le lire -et surtout de le comprendre- je me renseigne un peu sur Houellebecq et sa « génialité » supposée. Je suis donc tombé sur l’un des articles les mieux placés quand on tape dans google « Houellebecq style » vous le trouverez ici

L’une des premières réactions emporte mon suffrage et, si elle m’informe que je n’en ai pas l’exclusivité, elle me dit aussi que mon incompréhension l’est tout autant :

« Si je comprends bien, avoir un style plat, c’est l’idéal pour dépeindre la platitude, être ennuyeux, c’est parfait pour parler de l’ ennui, manquer de lyrisme, quoi de mieux pour décrire une époque désenchantée, quant à l’ insipidité, rien de plus adapté pour décrire la perte de rêve et d’ idéal de notre époque.

Incipits comparés : Kessel, Bradbury & Orcel McKenzy vs Houellebecq

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Chacun ses aspirations, moi quand j’ouvre Houellebecq j’attends d’être accroché, embarqué.

Voici les premiers paragraphes de trois livres de Houellebecq :

« Vendredi soir j’étais invité à une soirée chez un collègue de travail. On était une bonne trentaine, rien que des cadres moyens âgés de vingt-cinq à quarante ans.

Poète contre poésie

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Je ne connais pas intimement Oriane Jeancourt Galigani. Pourtant je l’aime. La faute à son article dans la revue Transfuge : la poésie est-elle digne de Michel Houellebecq ? à l’occasion de la sortie d’un recueil de ce dernier  « configuration du dernier rivage » (ça, pour les titres, ils ont du talent les deux. A croire qu’ils ont raté leur vocation de publicitaire)

La trop Grande Librairie

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Parler littérature à la TV n’est pas très rentable surtout si l’on veut entrer dans le style. Il faut forcément faire un détour par la rencontre avec Untel pour garder le téléspectateur. C’est moins vrai à la radio où il y a encore des émissions où l’on prend le temps de faire parler l’auteur sur tout. François Busnel me déçoit énormément : je peux comprendre qu’inviter l’auteur de 50 shades of grey attire du monde, mais de là à éluder d’autres vrais auteurs… Il est pourtant intelligent et perspicace le garçon, et lance quelques pics de temps en temps. On le sent un peu noyé par les impératifs et c’est dommage (Cf La Grande Librairie, sur Arté le jeudi à 20h40)

One Gad show

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Les places étaient réservées depuis un an, à l’initiative de ma femme : un soir à la TV, entre deux éclats de rires, elle me dit « allons voir Gad Elmaleh ! »

Mardi 25 novembre, je l’avais presque oublié…

La fascination du pire : Zeller & Houellebecq

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Z’avez déjà lu Zeller, Florian de son prénom ? Moi, avant ce soir : non. Çà n’a pas duré longtemps, 5 pages je crois. Et big incompréhension : auteur encensé, soutenu par son directeur de collection et prix Interallié. Rien que ça.

Ces prix ne veulent rien dire.