
Je l’ai pas voulue, je l’ai pas cherchée. Pourtant je l’ai eue, et sans payer.
Hier soir dans le Marais, panique générale : les gens courent dans les rues, se réfugient dans les boutiques. La notre « la piscine » est prise d’assaut par deux hommes paniqués, ils courent au fond du magasin, rapportent qu’ils ont entendu des coups de feu, des militaires (devant le musée d’Art et d’histoire du Judaïsme) se sont mis en position de combat…
La question a été posée en 2007 à une poignée de grands éditeurs. Tous font le même constat
Et oui… pourquoi ? Internet, c’est tellement plus simple. Parce que Amazon, la Fnac ou Gibert Joseph
28 novembre 2014, concert du maestro à Bercy : j’y étais. Après un show soigné… Stromae balance un dernier « merci » et crée le malaise.
A la compilation de mes différentes participations sur des forums d’écriture, je me rends compte que dans les premiers billets parus ici, beaucoup (trop) concernent Houellebecq. Point d’obsession, ou alors j’en suis depuis longtemps guéri (les articles datent tous de plus d’un an et demi).
Mais des interrogations toujours tenaces, dont le succès de cet écrivain est une illustration.
Parce que je poursuis mes tentatives de le lire -et surtout de le comprendre- je me renseigne un peu sur Houellebecq et sa « génialité » supposée. Je suis donc tombé sur l’un des articles les mieux placés quand on tape dans google « Houellebecq style » vous le trouverez ici
L’une des premières réactions emporte mon suffrage et, si elle m’informe que je n’en ai pas l’exclusivité, elle me dit aussi que mon incompréhension l’est tout autant :
« Si je comprends bien, avoir un style plat, c’est l’idéal pour dépeindre la platitude, être ennuyeux, c’est parfait pour parler de l’ ennui, manquer de lyrisme, quoi de mieux pour décrire une époque désenchantée, quant à l’ insipidité, rien de plus adapté pour décrire la perte de rêve et d’ idéal de notre époque.
Chacun ses aspirations, moi quand j’ouvre Houellebecq j’attends d’être accroché, embarqué.
Voici les premiers paragraphes de trois livres de Houellebecq :
« Vendredi soir j’étais invité à une soirée chez un collègue de travail. On était une bonne trentaine, rien que des cadres moyens âgés de vingt-cinq à quarante ans.
Je ne connais pas intimement Oriane Jeancourt Galigani. Pourtant je l’aime. La faute à son article dans la revue Transfuge : la poésie est-elle digne de Michel Houellebecq ? à l’occasion de la sortie d’un recueil de ce dernier « configuration du dernier rivage » (ça, pour les titres, ils ont du talent les deux. A croire qu’ils ont raté leur vocation de publicitaire)