La trop Grande Librairie

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Parler littérature à la TV n’est pas très rentable surtout si l’on veut entrer dans le style. Il faut forcément faire un détour par la rencontre avec Untel pour garder le téléspectateur. C’est moins vrai à la radio où il y a encore des émissions où l’on prend le temps de faire parler l’auteur sur tout. François Busnel me déçoit énormément : je peux comprendre qu’inviter l’auteur de 50 shades of grey attire du monde, mais de là à éluder d’autres vrais auteurs… Il est pourtant intelligent et perspicace le garçon, et lance quelques pics de temps en temps. On le sent un peu noyé par les impératifs et c’est dommage (Cf La Grande Librairie, sur Arté le jeudi à 20h40)

Houellebecq : la (im)possibilité d’un livre

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Nous pouvons maintenant ajouter à la médiocrité de Zeller celle de Houellebecq, tellement médiocre que je n’irai pour rien au monde vérifier l’orthographe de son nom. Alors, j’ai lu. Ça tombe bien c’est aussi le format d’édition. J’ai Lu.

One Gad show

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Les places étaient réservées depuis un an, à l’initiative de ma femme : un soir à la TV, entre deux éclats de rires, elle me dit « allons voir Gad Elmaleh ! »

Mardi 25 novembre, je l’avais presque oublié…

Le net s’envole, l’écrit reste

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Suis pourtant pas bien vieux… mais un fossé sépare la méthode de recherches de l’étudiant de 2014 (et celui d’une bonne décennie avant aussi) de l’étudiant que j’étais, voilà 14 ans.

La fascination du pire : Zeller & Houellebecq

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Z’avez déjà lu Zeller, Florian de son prénom ? Moi, avant ce soir : non. Çà n’a pas duré longtemps, 5 pages je crois. Et big incompréhension : auteur encensé, soutenu par son directeur de collection et prix Interallié. Rien que ça.

Ces prix ne veulent rien dire.

Lettre ouverte aux écrivains en herbe (qui publient sur les forums)

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La réécriture : corvée ou volupté ? le style en filigrane

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  • La merde a du goût (ou pas – le cas Darrieusecq)

Parce que cette fois-ci, elle a le goût amer du mercantilisme quand il est fait sans panache. « Cette fois-ci’ c’est hier soir,

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Dé-livre moi !

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Dé-livre moi ! Des barons du livre américains prédisent la mort des libraires dans leur pays. 5 ans. Peine capitale. L’un d’eux porte un nom court, Mc Col, Mc Niell, ou Mac Donald’s : allez savoir, l’essentiel est là.