Parfois lors d’une interview une dimension humaine se détache nettement du métier, un trait de caractère ou une aspiration singulière qui donne une couleur vive à l’échange. C’est là, je l’avoue, le sel de mes rencontres. C’est aussi ce qui rend leur rédaction ardue. Pour l’interview suivante j’ai choisi d’aborder directement cette dimension en tendant mon micro à une professionnelle de l’esprit : une psychothérapeute.
Entretien avec une citoyenne en colère :
Gens, Rencontres
Brigitte Wieser
A l’occasion des 10 ans de RESF (Réseau Education Sans Frontières), sa charismatique fondatrice m’ouvre les portes de son bureau… d’architecte.
Vivre et écrire : la part de soi
BilletsLa question a été posée en 2007 à une poignée de grands éditeurs. Tous font le même constat
Bethléem : du pain derrière le mur
Lieux, Rencontres(ou la brève excursion d’une famille juive en terre palestinienne)
Israël, janvier 2012 : même à plus de 4000 km de Paris, la saison n’est pas à la crème solaire ; ou alors si, mais il faut bien choisir sa région. Ça tombe bien, l’endroit où je suis je le connais et il est à 800 mètres d’altitude : Jérusalem. O°Celsus, un vent coupant comme du papier de verre et si la mer (morte) et sa chaleur estivale ne sont qu’à une heure de route, ici c’est un autre univers.
auteurs : pourquoi VOUS devez acheter vos livres en librairie
BilletsEt oui… pourquoi ? Internet, c’est tellement plus simple. Parce que Amazon, la Fnac ou Gibert Joseph
Stromae à Bercy : merci ?
Billets28 novembre 2014, concert du maestro à Bercy : j’y étais. Après un show soigné… Stromae balance un dernier « merci » et crée le malaise.
Pour en finir avec lui
BilletsA la compilation de mes différentes participations sur des forums d’écriture, je me rends compte que dans les premiers billets parus ici, beaucoup (trop) concernent Houellebecq. Point d’obsession, ou alors j’en suis depuis longtemps guéri (les articles datent tous de plus d’un an et demi).
Mais des interrogations toujours tenaces, dont le succès de cet écrivain est une illustration.
Houellebecq & Darrieusecq : fan for ever
BilletsParce que je poursuis mes tentatives de le lire -et surtout de le comprendre- je me renseigne un peu sur Houellebecq et sa « génialité » supposée. Je suis donc tombé sur l’un des articles les mieux placés quand on tape dans google « Houellebecq style » vous le trouverez ici
L’une des premières réactions emporte mon suffrage et, si elle m’informe que je n’en ai pas l’exclusivité, elle me dit aussi que mon incompréhension l’est tout autant :
« Si je comprends bien, avoir un style plat, c’est l’idéal pour dépeindre la platitude, être ennuyeux, c’est parfait pour parler de l’ ennui, manquer de lyrisme, quoi de mieux pour décrire une époque désenchantée, quant à l’ insipidité, rien de plus adapté pour décrire la perte de rêve et d’ idéal de notre époque.
Incipits comparés : Kessel, Bradbury & Orcel McKenzy vs Houellebecq
BilletsChacun ses aspirations, moi quand j’ouvre Houellebecq j’attends d’être accroché, embarqué.
Voici les premiers paragraphes de trois livres de Houellebecq :
« Vendredi soir j’étais invité à une soirée chez un collègue de travail. On était une bonne trentaine, rien que des cadres moyens âgés de vingt-cinq à quarante ans.
Poète contre poésie
BilletsJe ne connais pas intimement Oriane Jeancourt Galigani. Pourtant je l’aime. La faute à son article dans la revue Transfuge : la poésie est-elle digne de Michel Houellebecq ? à l’occasion de la sortie d’un recueil de ce dernier « configuration du dernier rivage » (ça, pour les titres, ils ont du talent les deux. A croire qu’ils ont raté leur vocation de publicitaire)